Bon me voilà rendu au chapitre 3 Bref j'aurais besoin de vos critiques c'est important pour moi ça va m'aider à m'améliorer
en espérant ne pas vous lasser aha. Aller bonne lecture ( ---------> je ne sais pas si vous avez remarqué mais je dit tout le temps ça xD )
-Tu les a dans le viseur ?-Tu me prends pour qui ? évidemment que je les aient dans le viseur. dis je le sourire aux lèvres Kerloyd venait de descendre de sa voiture
-Je ne faisais que vérifier tu sais me dit il comme pour se justifier
Je ne répondit rien cela faisait deux jours qu'on attendait la venue de Thomas Kerloyd.. le revendeur aux dents longues et ses inséparables accolytes... les armoires à glace. Ils travaillaient tous les trois pour la mafia italienne. Cal surveillait les vidéos pour vérifier qu'il n'y avait personne d'autres tout en créant une autres bande qui repassait quelques minutes en boucle afin que l'on ne voit pas ce que nous comptions faire. Il leva la tête et fis le signal.
Je tirais alors deux balles dans la tête de Kerloyd et une dans le coeur des ses deux gardes du corps. J'avais utilisé un silencieux et Cal avait coupé le courant le temps de quelques minutes pour que la rue soit plongée dans le noire. Si bien que personne n'avait rien vu ni entendu. Néanmoins Cal ne perdit pas une seule minute. Il lâcha tous les engins éléctroniques qu'il tenait entre les mains se mit sur le rebord la fenêtre puis me regarda
-Si t'es pas là dans 20 minutes...-Je sais tu viens me chercher. dis je un léger sourire aux lèvre je connaissais la procédure mais à chaque fois il tenait à tout mettre au clair. Puis il se retourna et lança son grappin jusqu'au lampadaire à coté des corps. Il se laissa glisser avec une bande de cuire solide fermement enroulé autour de ses mains. Il atteri avec la souplesse d'un chat puis ouvrit la camionnette qu'on avait placé là quelques heures plus tôt. Il balança les corps à l'intérieur monta alors à l'avant et se dirigea dans le local que nous avions loué au préalable. Je devrais le rejoindre d'ici une vingtaine de minutes mais d'abord je devais m'assurer que l'opérateur de vidéo surveillance n'était pas mort. Je l'avais attaqué par derrière donc je ne m'inquiétais pas quand à ma couverture mais je voulais éviter les dommages collatéraux. J'entrais dans la pièce, Il était toujours allongé contre le mur les yeux fermés. Je mis deux doigts sur son coup. Ouf il respirait encore. Soudainement il ouvrit les yeux m'agrippa le bras me fis une clé tout en collant ma tête contre le mur.
-Pour qui tu travaille ? Fait chier j'aurais du savoir que pour une affaire comme celle là y aurait des agents secrets.
Tu peux crever pour que je te le dise. Puis je poussais de toute mes forces mon corps du mur grâce à mes mes pieds. On recula alors tous les deux et l'agent alla s'encastrer le dos dans des écrans. Sous le choc il me lâcha et j'en ai profité pour sortir le couteau d'une quinzaine de centimètre qui se trouvait dans ma botte. On se regardais tous les deux concentrés à l'extrême tous les les sens en alerte. On se tournait autour en ne se quittant pas du regard. Mon couteau était tellement serré dans ma main que cela me faisait mal. Mais je n'en montrais rien.
-Tu crois vraiment que tu peux me battre ? dit il méchamment
tu dois faire une petite cinquantaine de Kilos à tout casser... il ajouta ironiquement
j'en fait 80 tu peux rien contre moi. Il était entrain d'essayer de me perturber on avait vu ça en cours.
-Arrête de parler pour rien dire et bat toi. Je lui est alors entaillé le torse pour le provoquer. Il a réagit au quart de tour et a commencer à frapper... dans le vide, j'étais trop rapide pour lui. Néanmoins il persévérait à essayer de m'atteindre. Son visage devenait rouge il s'essoufflait.
-C'est tout ce que t'as dans le ventre ? ricanais je il grogna et se jeta à nouveau sur moi comme une brute je sautais alors sur ses épaules au moment où il allait m'attraper. J'essayais de lui trancher la gorge... je n'avais plus le choix, c'était lui ou moi et je n'avais pas envie de mourir. Il essaya de me désarçonner mais n'y arrivant pas il a foncer tête la première dans un mur en me tenant les jambes. Je lui est tailladé le visage pour qu'il me lâche, ce qu'il a finit par faire avant de s'encastrer lui-même dans le mur. Il a secoué sa tête comme un chien... complètement déséquilibré tendis que je m'étais envolée vers un luminaire qui clignotait puis avec le mouvement du balancier je l'est poussé avec mes pieds et il s'est mangé le meuble qui s'est écroulé sur lui. J'ai alors attéri sur mes pieds en me demandant si il avait enfin claqué. Je m'approchais précautionneusement, on y voyait pas grand chose avec toute cette poussière. Je plissais les yeux attentive quand soudain il a émergé de toute sa hauteur. Il avait l'air furieux et pour la première de ma vie j'ai eu peur de ce qui allait arriver. Il s'est jeter sur moi en m'aplatissant sur le sol. On aurait dit un démon. A cheval sur moi il a commencer à me frapper avec ses poings...sans s'arrêter. Le sang jaillissait de partout et la douleur devenait intenable je me débattais comme une folle mais j'étais prisonnière sous son poids.
-T'en veut encore hein ? et il frappait de plus en plus fort cela semblait l'exciter j'étais complètement éffrayé. Les larmes coulaient tendis que je criais de toute mes force. Mais je savais que personne ne pouvait nous entendre. Je n'avais quasiment plus d'énergie j'allais finir par sombrer dans l'inconscience. Puis je vis ses lèvres s'étirer en un sourire diabolique. Il a alors arrêté de me frapper. Puis j'ai vu une lueur dans ses yeux et j'ai comprit. Il a commencer à arracher sauvagement mes vêtements je n'avais plus de doute je savais ce qu'il allait me faire. Dans mes dernières forces je me débattais sous son rire gras. Mes coups étaient faibles et ne le touchait même plus. Il m'envoya alors un coup qui me fit m'évanouir. J'eus tout juste le temps d'entendre une porte s'ouvrir et une voix.
-Lâche là. Puis j'ai sombré.
-Kyla! J'étais dans mon lit en larme je venait de me réveiller en sursaut c'était la nuit je tournais la tête et vis mon réveil 3H42. Cal me prit tout de suite dans ses bras. Je blotissais ma tête dans son coup en le serrant fort.
-Qu'est-ce que t'as ? Je t'ai entendu crier et pleurer. me dit il soucieux C'est encore ce cauchemard ? Le fait qu'on soit dans ce même hôtel en mission tout les deux qui te fait remonter de vieux souvenirs ?J'aquieçais je n'arrivais pas à parler.
-Je suis là et lui il est mort. Il ne pourra plus jamais te faire de mal. me dit il pour me rassurer.
-Si tu n'avais pas été là... dis je la voix brisée.
-Je sais... dit il en me caressant les cheveux.
Cal m'avait raconter ce qu'il s'était passé une fois qu'il était entré dans la salle après avoir dit à l'agent de ma lâcher. Celui ci avait ricaner et Cal n'avait pas eut de pitié. Une balle entre les deux yeux. Il s'était alors approché de moi et m'avait porté jusqu'à ma chambre. Il m'avait ramassé à la petite cuillère. J'étais traumatisé. Je n'avais pas voulu quitter la chambre d'hôtel et durant des jours et des jours il a tout fait pour que je me rétablisse mentalement et physiquement. Mes amis et ma famille avait tenté de me voir mais j'avais refusé. Je ne voulais que Cal.. sans lui l'agent m'aurait violer et tuer. Je me sentais à l'abri avec lui. Quelques temps plus tard j'avais réussi à dépasser le stade de la peur et j'étais devenue plus forte. J'étais sortie avec Cal car j'avais nourri des sentiments amoureux pour lui. Cependant après quelques moi j'ai rencontré son frère et tout à changé... J'étais tombé follement amoureuse de lui et il ne l'a pas supporté. Il est devenu irritable méchant je ne le reconnaissais plus. Je ne retrouvais plus son coté doux et protecteur qui m'avait tant plus chez lui. J'en était venu à le détester. Mais ce soir c'était comme si je le retrouvais après une longue absence. C'est comme si on était retourné six mois en arrière. Il me ramena soudain à la réalité lorsqu'il me me proposa de dormir avec moi d'un ton inquiet. J'étais chamboulée par les émotions contradictoires qui se logeait en moi. J'étais perdu mais tous ce que je savais c'était que ce n'était pas correct pour Théo. Je me détachais alors de lui et déclina sa proposition. Il inclina la tête en signe d'acceptation me fit un dernier calin m'embrassa sur la joue et me laissa seule avec le tourbillon de mes sentiments.